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ÉcoParc de Basse-Zorn : un projet pour le territoire

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Nicolas Pfister a eu le plaisir d’être sélectionné par la Caisse Régionale du Crédit Agricole pour témoigner devant les caméras des « Routes des Transitions ». Ce Tour de France a pour but de « partager des initiatives marquantes […] et de mettre en avant des projets qui contribuent à l’avènement d’une économie durable et inclusive sur son territoire ». Le futur EcoParc Basse-Zorn remplit tous les critères. Exemplaire en termes de respect de l’environnement, de qualité de vie au travail (QVT), il contribuera également au développement des PME régionales, entre accessibilité, mémoire du lieu et innovation. Il constitue le parfait exemple de combinaison entre le développement économique et le respect de l’environnement et la biodiversité. Quelques précisions pour compléter le témoignage de Nicolas.

Un projet pensé à l’échelle du territoire

L’ÉcoParc de Basse Zorn est naturellement dimensionné pour répondre aux besoins du territoire et de ses entreprises. Il offre une équation idéale pour les PME du Grand Est :

• Une excellente accessibilité aux portes de l’Eurométropole strasbourgeoise

• Des locaux neufs ou réhabilités, modulables et évolutifs

• Des services de qualité dans un environnement paysager.

Mais pour Nicolas Pfister, penser à l’échelle du territoire, c’est surtout réfléchir avec ses acteurs. Hormis l’Eurométropole, la Région et la CCI avec qui les liens sont étroits, tissés de longue date avec notamment la création de l’EcoParc Rhénan, la mairie de Hoerdt, la Communauté de Communes de la Basse Zorn et l’EPSAN (ancien propriétaire) ont été associés à la conception du projet. Même l’association pour la mémoire de l’hôpital a été consultée. Car la réflexion s’est aussi portée sur la préservation du patrimoine existant (immobilier et végétal) et son intégration dans le projet d’EcoParc. 11 bâtiments historiques ont été préservés et réhabilités, hébergeant principalement des bureaux et des services aux salariés. Penser à l’échelle du territoire, c’est aussi réfléchir au paysage et à la biodiversité en créant de nouveaux corridors écologiques, en plantant des haies… Une rangée de tilleuls a même été transplantée pour préserver le caractère majestueux de l’accès à l’EcoParc.

Un EcoParc nouvelle génération, au caractère historique

Si l’ÉcoParc Basse Zorn a toute sa place dans les « Routes des Transitions », c’est aussi par sa capacité à justement faire cette transition entre lieu historique et cadre de travail innovant. Ses 80 000 m2 de locaux associeront connectivité numérique, espaces modulables, équipements éco-responsables, économie circulaire, transports en commun et liaisons douces, lieux de rencontre, services… Le tout dans un EcoParc ouvert à tous, où il fera bon travailler pour les 1000 employés des 35 entreprises attendues.